mais encore...

mais encore...

L'UNIVERS PARTICIPATIF

 

« Il y a deux façon de se leurrer :

La première, c'est de croire ce qui n'est pas vrai.

La seconde, c'est de refuser de croire ce qui est vrai. [1]

 

L'univers participatif


Quoique nous disent les médias, la crise économique n'est sans aucun doute pas le sujet le plus grave à traiter sur notre planète aujourd'hui. Elle n'est que le tableau d'affichage de nos modes de pensées.

On peut bien sur, comme cela a été fait réinjecter de l'argent dans les marchés financiers, mais le pas décisif à faire pour un véritable changement est toujours celui d'un changement de conscience car la vie comme le monde est façonné par nos pensées.

Bien, repartons du big-bang, pour mieux comprendre !

 

Les chercheurs ont établi que, quelques fractions de seconde avant le big-bang, l'univers dénué de tout espace vide devait avoir à peu près la taille d'un petit pois! La force explosive s'est propagée ensuite tel un "filet" ou une "toile" qui continue de s'étendre dans le cosmos. Or cette énergie interconnecte tout ce qui existe dans l'univers. Par conséquent, ce qui était fusionné dans le petit pois, il y a 20 milliards d'années, est toujours interconnecté et l'énergie qui effectue cette connexion est ce que le physicien Max Planck appelle la "matrice"

 

 

Voici quelques expériences étonnantes pour imager ce concept:


· La première décrite par Gregg Braden[2] est tirée d'une étude réalisée par l'armée[3] :

On prélève du tissu muqueux dans la bouche d'un volontaire, et on observe l'activité électrique de l'ADN. A plusieurs kilomètres de là, le donneur visionne une série d'images vidéo conçues pour susciter de fortes émotions. Chaque fois que le donneur éprouve des chocs émotionnels, on enregistre alors de fortes réactions électriques au niveau de l'ADN de ses cellules.L'ADN se comporte donc comme s'il était encore physiquement connecté au donneur dans cette expérience effectuée jusqu'à une distance de 550km. En utilisant une horloge atomique, on a pu également vérifier que l'intervalle entre l'émotion et la réaction cellulaire est nul: l'effet est simultané.

"lI n'y a aucun endroit où le corps finit ni où il commence vraiment"

 

· Les expériences suivantes vont toucher notre cœur sensible de botanistes.

Elle sont beaucoup plus anciennes (1968) et ont été menées par Cleve Backster[4], connu comme le meilleur spécialiste américain en détection de mensonge. 

Celui-ci a eu un jour l'intuition de relier son galvanomètre[5] à une plante d'appartement (un Dracena massangeana, ça, c'est un détail pour Rita). La manière la plus efficace pour déclencher une émotion chez un individu est de le menacer dans son bien-être. Backster trempa alors une feuille du Dracena dans son café brûlant. La réaction sur le graphique fut insignifiante. Il imagina alors une menace plus dangereuse : il brûlerait la feuille reliée aux électrodes. À l'instant même où il imaginait la scène avec la vision de la flamme, le galvanomètre dessina une courbe prolongée sur le tracé. Il quitta la pièce pour chercher des allumettes et enregistra une nouvelle oscillation à son retour dans la pièce. Il entreprit de brûler la feuille et curieusement la réaction fut moindre. (On peut noter ici que chez la plante comme chez l'homme la peur de souffrir est plus puissante que la souffrance elle même).  Plus tard comme il faisait seulement semblant de vouloir la brûler, la réaction fut nulle. La plante semblait donc capable non seulement de réagir à la pensée d'un humain, mais de faire la différence entre des intentions réelles ou prétendues. Par la suite Backster remarqua que la plante réagissait non seulement à ses émotions, mais aussi à la destruction d'un tissu vivant un jour qu'il s'était coupé au doigt. Dans le but d'approfondir l'idée d'une conscience cellulaire, il réussit à fixer ses électrodes à différentes sortes d'organismes unicellulaires.

(Les spermatozoïdes se révélèrent particulièrement étonnants réagissants à la présence de leur donneur , tout en ignorant les autres représentant du sexe masculin.)

Mais son expérience la plus célèbre reste celle des crevettes (cœur sensible , s'abstenir!),

un programmateur automatique laissant tomber de manière aléatoire des crevettes vivantes dans de l'eau bouillante, trois plantes reliées à trois galvanomètres dans trois pièces différentes  réagirent violement et de manière synchrone à la mort des crevettes.

 

Et bien, mes amis, voilà de quoi réfléchir sérieusement au concept d'univers participatif,

et à notre responsabilité créatrice du monde dans lequel nous vivons :

Tout changement ayant lieu dans nos pensées se manifeste dans notre vie et se reflète partout dans notre monde, comme l'illustre si joliment la célèbre phrase :

"Lorsque tu cueilles une fleur tu déranges une étoile"

 

Une représentation élargie de la réalité, prendre davantage conscience du vivant pour collaborer en parfaite intelligence et respect changera incontestablement la vie des humains et de la planète.

 

 



[1] Sfren Kierkegaard 

[2] Gregg Braden (La divine matrice, ed. Ariane)

[3] Advances1993: Julie Motz thejournal of Mind-BodyHealth,vol 9.Santa Fe, NM

[4] La vie secrète des plantes.Peter Tompkins/Christopher Bird. Ed. Laffont

[5] Un galvanomètre est un appareil électrique qui fait osciller une aiguille  lorsqu'un courant électrique faible parcourt le corps d'un individu, répondant à  des images mentales qui produisent une émotion imperceptible.

  



31/10/2008
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